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Scandale au Conseil de Paris : Rachida Dati mise en cause pour ses « bijoux cachés » !

Moudir

Alors que le Conseil de Paris s’ouvre dans un climat électrique, Rachida Dati, ministre de la Culture et maire du VIIᵉ arrondissement, devient l’épicentre d’un tollé. Son absence remarquée et une enquête explosive sur ses déclarations financières ont propulsé son nom au cœur des débats. Découvrez les révélations qui secouent la classe politique.

L’absence remarquée de Rachida Dati

Ce début de semaine marquait le retour du Conseil de Paris, un moment crucial pour les élus. Pourtant, Rachida Dati, habituellement omniprésente, n’était pas de la partie. Son absence a été perçue comme énigmatique, surtout alors que la loi PLM – qui renforce ses prérogatives – venait d’être adoptée en première lecture. Une absence qui a laissé le terrain libre à ses détracteurs, prêts à exploiter une enquête fracassante publiée par Libération.

 

L’enquête de Libération qui secoue la classe politique

L’enquête révèle que la ministre de la Culture aurait omis de déclarer plus de 400 000 euros de bijoux de luxe dans sa déclaration de juin 2024 à la HATVP. Une négligence qui pourrait s’apparenter à une violation des règles déontologiques. Ses avocats, interrogés par le journal, affirment que leur cliente est « parfaitement en règle ». Mais les doutes persistent, alimentant un climat de suspicion.

Réactions enflammées des élus d’opposition

Les élus de la majorité d’Anne Hidalgo ont saisi l’occasion pour tacler Rachida Dati. Rémi Féraud, candidat à la mairie en 2026, a brandi le journal Libération en plein Conseil, ironisant : « 3ᵉ jour du Conseil de Paris. Mme Dati n’est présente que dans nos lectures ». Carine Rolland et Paul Simondon ont rejoint le chœur des critiques, transformant l’hémicycle en scène de sarcasmes.

Rachida Dati se défend… mais les doutes persistent

Sur les réseaux sociaux, la ministre a tenté de changer de sujet. Elle a vanté sa coopération culturelle avec le Maroc et l’Égypte, tout en saluant une représentation de Carmen à Paris. Mais son silence sur l’enquête et l’annulation de la réforme de l’audiovisuel public – un de ses chevaux de bataille – ont renforcé les spéculations.

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