Des porcs vivants sont utilisés en tant que cobayes pour des tests de simulations d’accident horribles
Des chercheurs en Chine se sont attiré les foudres des internautes après que des images aient révélé qu’ils utilisaient des porcs vivants en guise de cobayes pour des tests de simulations d’accidents.
C’est donc à l’occasion d’une étude que 15 jeunes porcs ont été attachés dans des sièges d’auto pour des simulations de collisions à grande vitesse. Selon ce que révèle Mirror, sept de ces porcs seraient morts à la suite du test.
Les porcs terrifiés ont été soumis à des conditions horribles lors de la simulation, mais ils auraient également été privés de nourriture et d’eau dans les heures qui ont précédé les tests.
Lors de l’expérience, 15 porcs – seulement âgés de 70 et 80 jours – ont été attachés avec divers types de ceintures de sécurité, puis ils ont été soumis à collisions à des vitesses élevées allant jusqu’à 50 km/h.
Les animaux ont été placés dans un siège installé sur une structure qui était propulsé à grande vitesse afin de reproduire un choc causé par une collision. Les porcs ont subi de nombreuses blessures, y compris des hémorragies, des lacérations, des abrasions, des fractures et des ecchymoses internes. Sept des animaux sont morts.
En plus d’avoir été privés de nourriture dans les 24 heures qui ont précédé l’essai, les porcs ont également été empêchés de boire de l’eau six heures avant l’expérience. Les chercheurs ont expliqué que les porcs avaient reçu un produit anesthésique afin de réduire « l’excitation et le stress ».
Les chercheurs ont justifié leur expérience avec de jeunes porcs en affirmant que leur structure anatomique était « similaire » à celle des enfants humains. Toujours selon ce que les chercheurs ont déclaré au International Journal of Crashworthiness, ceux-ci ont affirmé que les porcs étaient destinés à « imiter les enfants de six ans ».
Enfin, les scientifiques ont insisté sur le fait qu’ils avaient suivi les directives américaines quant à l’utilisation d’animaux de laboratoire, tout en précisant que leur étude avait été approuvée par un comité d’éthique. Cependant, cette pratique a pris fin aux États-Unis dans les années 1990.