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Scandale à l’Assemblée : Les dérapages impardonnables de Bayrou provoquent un déchaînement politique !

Moudir

Un discours teinté de relents coloniaux, une gestion de crise calamiteuse : le Premier ministre vient de franchir la ligne rouge. Découvrez comment ses propos choquants et ses silences coupables ont enflammé la classe politique française.

Le récit troublant qui a glacé l’hémicycle

Ce 19 février, François Bayrou évoque sa jeunesse au lycée avec une anecdote lourde de sous-entendus : « Un Africain dans la cour… toujours avec une très jolie fille ». Les bancs de l’Assemblée nationale résonnent de murmures désapprobateurs. La députée LFI Nadège Adomangoli dénonce sur X une « pantalonnade » indigne, tandis que sa collègue Gabrielle Cathala parle de « honte et déshonneur ».

Double tempête pour le chef du gouvernement

Alors qu’il esquive une sixième motion de censure, Bayrou doit aussi répondre du scandale des violences à Notre-Dame-de-Bétharram. Jean-Michel Aphatie, dans Quotidien, balance : « Ce discours est l’un des plus hypocrites que j’ai entendus ». Le journaliste révèle que le Premier ministre n’a contacté aucune victime avant mars 2024, malgré des révélations du Monde datant de 2023.

L’affaire du pensionnat : la colère des victimes

Les déclarations larmoyantes de Bayrou après sa rencontre avec les plaignants font bondir : « On se fout de la gueule du monde ! » tonne Aphatie. Le présentateur démontre point par point le décalage entre les « trémolos dans la voix » du ministre et son inertie prolongée face à ce dossier brûlant.

Un quinquennat sous tension extrême

Avec seulement 20 % d’opinions favorables dans les sondages*, le gouvernement navigue en eaux troubles. Ces nouveaux scandales interrogent la capacité de Bayrou à incarner l’autorité étatique. La question fuse désormais dans les couloirs du Palais-Bourbon : jusqu’où tiendra-t-il face à cette crise de légitimité ?

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