Familles nombreuses : Amandine Pellissard taclée par les internautes à cause du nombre de cadeau qu’elle compte offrir à ses enfants
Noël approche à grands pas et les parents se plient en quatre pour faire naître des étoiles dans les yeux de leurs enfants le soir du réveillon du 24 décembre. Chez les Pellissard, on ne déroge pas à la règle. Comme chaque année, la célèbre maman de l’émission « Familles nombreuses : la vie en XXL » fait tout son possible pour satisfaire sa tribu. La jeune femme a donc prévu une montagne de cadeaux à mettre sous le sapin. Des présents qu’elle a d’ailleurs choisi de montrer à ses abonnés lors d’un Live diffusé sur Instagram.
Léo, Alina, Louna, Adam, Charles, Hector et Octave seront donc gâtés pour Noël. Mais s’il y a bien un membre de la famille qui aura la chance d’ouvrir pléthore de paquets, il s’agit de Léna, la fille ainée d’Amandine et Alexandre. Au total, la fillette de 10 ans devra déballer jusqu’à 24 cadeaux. Un nombre qui n’a pas manqué de faire réagir les internautes. « 24 paquets pour une seule enfant… vive le bordel après pour ranger tout ça » ; « Ah mais je n’avais pas compris, les 24 cadeaux sont pour un seul enfant ! Là c’est de la folie » ; « 24 paquets pour 1 enfant ??? Moi c’est 4-5 par tête et encore je trouve déjà trop ».
Des commentaires qu’Amandine et son époux n’ont pas du tout appréciés. D’une sincérité sans faille, Alexandre a rapidement pris la parole : « On gâte nos enfants parce qu’on a envie de les gâter. Ce n’est pas un manque de respect envers les gens. On a le droit de gâter nos enfants. Chacun à sa façon de faire avec les siens. Cela ne regarde que nous. […] Cela me fait plaisir de voir mes enfants heureux. » De son côté, la jeune maman a ajouté : « Les ‘rageux’ seront toujours ‘rageux’… Et puis je peux vous dire qu’on les gâtait déjà avant de faire de la télé, ceux qu’ont vu la saison 1 le savent. Mais si on peut les gâter encore plus, eh bien tant mieux ! Et si on peut les gâter encore plus, plus, plus, tant mieux ! N’en déplaisent à qui cela déplaît, je m’en tape. » Voilà qui est dit !