Blague : Un pet monstrueux !
C’est un couple qui vit très heureux depuis de longues années de mariage. Le début fut un peu difficile, car l’homme (appelons le Jean) avant l’habitude de manger des fayots : c’était son plat favoris. Mais ne supportant plus l’odeur occasionné par son plat favoris, sa femme décida de lui interdire. Ce fut très difficile, mais comme il aimait vraiment sa femme, il réussi à tenir sa parole.
Mais il se trouve qu’aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Jean. Jean est un commercial qui est une bonne partie de la journée sur les routes de son pays. Mais voilà qu’en rentrant chez lui, il passe devant un restaurant avec une grande affiche sur laquelle on peut lire : Plat du jour : Fayots
Pour une fois depuis ces longues années de mariage, il hésita vraiment. Finalement, il fit demi-tour en se disant qu’après tout, aujourd’hui, c’était son anniversaire. Il se régala.
En rentrant chez lui, à peine eut-il ouvert la porte, que sa femme vint à sa rencontre avec un bandeau
– Aller, met le, c’est une surprise !
– Mais enfin, tu ne veut pas m’expliquer?
– Ne fait pas tant d’histoire, aller.
– Je ne pourrais pas aller prendre un bain avant?
– Non non, pas question, le repas est déjà prêt.
Puis, elle l’emmena visiblement dans la salle à manger, et le fit s’assoir à la table.
La, les choses se gâtèrent. Les fayots commençaient à faire de leur effet, et il ne voulait pas avouer à sa femme qu’il avait trahi sa promesse. Il pensait foncer à la salle de bain et prendre un bain, mais il n’avait pas pu, et son envie de péter grandissait de secondes en secondes.
Soudain, le téléphone sonna. « Sauvé » pensa-t-il. Il attendit un peu, les pas de sa femme qui s’éloigne, décrochement de combiné, et au loin, la voix de sa femme qui fait :
– Ah, c’est toi.
Ni une ni deux, il profita de l’occasion. Coinçant les fesses le plus possible pour faire le moins de bruit possible, il lâcha son pet. Il tendit l’oreille, mais rien, sa femme discutait toujours. En revanche, son odorat lui indiquait que son pet, si peu bruyant soit-il, ne sentait pas vraiment la rose.
Il tâtonnât un peu sur la table, sentit les couvert, l’assiette et… la serviette. Rapidement, il la déplia un peu, et commença à faire le plus de vent possible afin de dissiper l’odeur.
Alors qu’il commençait enfin à ne plus sentir l’odeur de la trahison, un autre pet arriva plus pressant. Au bord de la souffrance à essayer de le retenir, il tendit l’oreille. Sa femme discutait toujours.
Il lâcha donc un pet monstrueux. Cette fois ci, elle l’avait entendu, c’était certain. Il tendit l’oreille à nouveau… Rien, elle discutait toujours. Soulagé, il ne le fut pas longtemps, à cause de l’odeur qui arrivait à ses narines. Si le premier avait l’air dissipé, celui-là, c’était une autre paire de manche. Et il repris de plus belle à battre des bras avec sa serviette. Au bout de deux bonnes minutes, il était à bout de bras, mais son nez lui indiquait positivement que l’odeur était très dissipé.
Un coup de chance, car sa femme venait juste de raccrocher le téléphone. Il s’empressa de replier sa serviette, et attendit.
– Voilà chéri, désolé de t’avoir fait attendre.
– Ce n’est rien voyons. Et cette surprise?
– A oui, j’oubliais
Et elle enleva le bandeau en disant :
– Regarde, tes parents sont venu exprès de Londres, et les miens de Paris.