Blague : Il comparait devant le juge parce qu’il a tué sa femme.
Un homme comparaît devant le juge parce qu’il a tué sa femme.
Juge : « C’est un grave délit ; si vous pouvez apporter des circonstances atténuantes, la peine sera allégée ».
L’homme : « Elle était bête ; je devais tout simplement la tuer ».
Juge : « Ceci n’est pas une déclaration atténuante ; si vous ne voulez pas rester toute votre vie derrière les barreaux, vous devrez venir
avec autre chose ».
Sur quoi l’homme déclare : « On habitait dans un appartement. Au 12ème vivait une famille avec 2 enfants. C’était pénible, le fils de 12 ans
n’avait que 90 cm et la fille de 19 ans que 85 cm ».
Un jour, je dis à ma femme : « C’est quand même triste les enfants de ces gens ».
« Oui, répond-elle, ce sont des Pyrénées. »
Je lui dis : « Tu veux dire des Pygmées ».
« Non, me dit-elle, Pygmées, c’est ce que tu as sous la peau et qui
fait les taches de rousseur. »
Je dis : « Ça ce sont des pigments ».
« Non, dit-elle, pigment, c’est une formation rocheuse qui forme un
fronton. »
Je réponds : « C’est le pédiment, ça ».
« Non, répond-elle, le pédiment est l’homme qui en rue demande
l’aumône. »
« Vous comprenez, Monsieur le Juge, que je n’avais plus envie de lui
répondre qu’il s’agissait d’un mendiant. Je m’assis donc dans le
fauteuil pour lire mon journal. »
Soudain, ma femme vient avec la locution suivante, et je me dis : «
Elle est bonne pour l’asile ».
« Chéri, regarde un peu », et elle me montre une phrase dans un livre ouvert sur la table : Het zonnedak van de handtas was de lerares van
pooier 15.
« Mais chérie, lui dis-je, on ne traduit pas comme ça La Marquise de Pompadour est la Maîtresse de Louis XV. Cela signifie De Marquise van Pompadoer was de maîtresse van Louis de 15.
« Non, me réplique ma femme, tu dois traduire cela littéralement : La Marquise -> het zonnedak, Pompadour -> de handtas, la maîtresse -> de lerares, Louis XV -> de pooier. Tu penses si je le sais, moi, j’a eu des cours de Néerlandais, en extra d’un recteur ».
« Tu veux dire un lecteur. »
« Non, continue-t-elle, Lecteur est un héros romain. »
Je dis : « C’est Hector et il était Troyen ».
« Non, me dit-elle, hector est une mesure agraire. »
« Mais non, ça c’est hectare. »
« Non, poursuit-elle, Hectar est une boisson divine. »
« Tu veux dire le nectar sans doute ? »
« Non, le nectar est une rivière au sud de l’Allemagne. »
« Ça, c’est la Neckar. »
Ma femme : « Tu connais cette chanson : Sur les rives de la Neckar , sous la pleine lune argentée. Je l’ai encore chantée avec une amie en duet ».
« En duo, je présume. »
« Non, un duo, c’est quand deux hommes se battent au sabre. »
Je lui réponds que ça, c’est un duel !
« Mais non, dit-elle, un duel, c’est un long couloir noir dans la montagne, d’où sort un train. »
« Monsieur le Juge, à ce moment-là, j’ai pris le marteau et je lui ai fracassé le crâne. »
Ils se taisent… Puis le Juge : « Acquitté ! Je l’aurais déjà massacrée à Hector… »